Désormais,les salariés peuvent savourer en toutes circonstances des aliments de qualité, préparés par un chef cuisinier et issus de productions françaises.
L’idée m’est venue durant mes études d’école de commerce. J’ai commencé à faire attention à mon alimentation et je me suis rendu compte qu’il était compliqué voire impossible de bien manger le midi tout en respectant des critères de prix et de disponibilité. J’ai ensuite analysé le marché et j’ai remarqué qu’il y avait un gros potentiel.
J’ai réalisé mon business plan, commencé à démarcher un client qui a été séduit, puis je me suis dit, c’est le moment.
J’avais besoin de m’associer à quelqu’un de complémentaire, non seulement parce que je ne sais pas cuisiner, mais également parce qu’à deux, c’est plus simple de garder la motivation au plus haut niveau. J’ai donc entrepris des démarches sur les réseaux sociaux et j’ai rencontré Antonin sur Facebook qui est aujourd’hui mon associé.
On ne s’est pas vraiment dit « c’est bon ça va marcher ». On a été démarché par une grande entreprise, Sephora, qui souhaitait accueillir notre offre novatrice. C’est ce qui nous a poussé à nous lancer.
Je lui dirais qu’il fonce, car c’est un réseau qui apporte beaucoup de conseils et soutiens, et c’est quelque chose d’indispensable quand on se lance. Être entouré pour faire les meilleurs choix possibles. C’est un accompagnement financier qui rassure les différents organismes comme les banques et qui en plus du prêt d’honneur permet généralement d’accéder plus facilement à des emprunts.
Je lui dirai de se préparer mentalement car la route est longue, la réussite est loin d’être immédiate, mais c’est une expérience magnifique, pleine de rencontres.
Je n’aurais jamais rencontré autant de personnes riches en savoir, visité des lieux exceptionnels ou avoir ressenti cette sensation de réussite comme d’échec si je n’avais pas pris la voie de l’entrepreneuriat.
Les seules limites de nos réalisations de demain, ce sont nos doutes et nos hésitations d’aujourd’hui, disait Eleanore Roosevelt.