La cybercriminalité n’est plus un sujet d’experts. C’est un risque quotidien, mesurable, et désormais systémique. En France, 49 % des PME ont déjà subi une cyberattaque selon la CPME (2023), et près d’une sur quatre ne s’en est jamais complètement remise (source : ANSSI, rapport 2024). Derrière chaque statistique se cache une réalité humaine : des dirigeants épuisés, des équipes paralysées, des pertes de données, des clients inquiets.

Et si la question n’était plus “Comment se défendre ?” mais “Comment durer ?”
Parce que la cybersécurité, ce n’est pas une action ponctuelle : c’est une culture à diffuser dans toute l’entreprise, comme l’hygiène, la qualité ou la sécurité au travail.


📉 La PME, proie parfaite d’une économie du risque numérique

Les cyberattaques ne ciblent pas toujours les géants : elles visent surtout ceux qui ont le plus à perdre en cas d’arrêt. Une PME de 30 salariés à Avignon, un cabinet comptable, une agence de com’… Ce sont ces structures qui disposent de données sensibles mais sans les moyens d’une DSI complète.

Les pirates exploitent cette faiblesse structurelle. Une campagne de phishing bien faite, un VPN mal configuré, ou un mot de passe réutilisé suffisent.
Selon Cybermalveillance.gouv.fr (2024), 70 % des incidents proviennent de comportements internes. Et c’est logique : la technologie évolue vite, les usages encore plus. Télétravail, cloud, mobilité, objets connectés — autant de portes d’entrée nouvelles qu’il faut surveiller sans relâche.

« La cybersécurité des PME ne se joue pas sur les outils, mais sur la rigueur. » — ANSSI, Guide PME 2024


🧭 D’une réaction à une stratégie : penser en termes de résilience

Dans beaucoup d’entreprises, la cybersécurité reste réactive : on agit après la panne, après l’attaque, après le sinistre. Mais c’est trop tard. Le coût moyen d’une interruption liée à un rançongiciel pour une PME française est estimé à 180 000 € (source : IBM Security, 2024).

Les entreprises les plus résilientes ont changé de paradigme : elles passent d’une logique de “protection” à une logique de résilience numérique. Cela suppose : – une supervision continue des postes et serveurs ; – une automatisation des sauvegardes ; – une formation récurrente des collaborateurs ; – et surtout, une intégration de la cybersécurité dans la gouvernance, pas dans la seule technique.

C’est exactement ce que défend Power iti, société avignonnaise spécialisée dans l’infogérance et la sécurité informatique des PME. Leur credo : simplifier sans compromettre, en rendant la technologie au service du confort de travail.


🔒 My Serenity : de la supervision à la sérénité numérique

Avec My Serenity, Power iti incarne une vision holistique du numérique : un écosystème fluide, stable et sûr.

Leur offre repose sur trois piliers, qui recoupent les recommandations du NIST et de l’ANSSI : 1. Anticiper : audit des infrastructures, détection proactive des failles, sensibilisation des collaborateurs. 2. Protéger : mise à jour automatisée, chiffrement, segmentation réseau et sauvegardes externalisées. 3. Réagir : supervision 24/7, procédures documentées, rétablissement rapide des services.

Cette approche MSP (Managed Service Provider) transforme la cybersécurité en service continu, plutôt qu’en prestation d’urgence. Elle garantit la disponibilité, la conformité RGPD et la continuité d’activité.

« La vraie sérénité, c’est quand on oublie que la technique existe. » — Jean-Pierre Dumont, client PME dans le Vaucluse


🧩 La cybersécurité comme culture d’entreprise

Il n’existe pas de pare-feu capable d’arrêter une erreur humaine. La seule défense durable, c’est la culture. Cela implique de former, responsabiliser et valoriser les bons réflexes numériques.

Quelques pratiques éprouvées : – Former tous les collaborateurs à reconnaître les signaux faibles (emails suspects, liens trompeurs, demandes inhabituelles). – Tester régulièrement les plans de sauvegarde plutôt que de les supposer fonctionnels. – Documenter les accès et droits utilisateurs, car la majorité des fuites vient d’un excès de privilèges. – Inclure la sécurité dans les processus RH et management, dès l’onboarding.

Les entreprises qui intègrent ces pratiques réduisent de 60 % leur exposition moyenne (source : Verizon Data Breach Report, 2024). C’est un indicateur clair : la pédagogie coûte moins cher que la réparation.


🤝 Le rôle du collectif entrepreneurial : un bouclier de proximité

Le Réseau Entreprendre Rhône Durance a toujours porté la conviction que la solidarité entrepreneuriale est un levier de croissance durable. Face à la menace cyber, elle devient un levier de survie.

Mutualiser les retours d’expérience, partager les alertes locales, créer un maillage de compétences IT et juridiques — c’est ainsi que les dirigeants peuvent reprendre l’avantage. Les réseaux d’entrepreneurs jouent un rôle clé pour briser l’isolement et faire émerger une culture de vigilance partagée.

En soutenant des acteurs régionaux comme Power iti, le réseau contribue à ancrer la cybersécurité dans le territoire. Ce n’est plus un sujet technique : c’est un enjeu de souveraineté économique locale.


⚙️ Vers une performance numérique durable

Les dirigeants de PME n’ont pas vocation à devenir experts en sécurité. Mais ils doivent en comprendre les mécanismes essentiels pour piloter leur entreprise dans un monde interconnecté. La cybersécurité n’est pas une barrière : c’est un socle de performance.

Dans un futur proche, les labels RSE, les appels d’offres publics et les partenaires exigeront des garanties de résilience numérique. Se préparer aujourd’hui, c’est anticiper ces critères demain.

Et la clé n’est pas l’outil, mais la vision : une IT sereine, éthique et maîtrisée.
C’est ce que résume parfaitement la démarche de Power iti avec My Serenity : faire de la sécurité un moteur de confiance, et non une contrainte.


🧠 En conclusion : la sérénité comme stratégie

La cybersécurité n’est plus une option ni une ligne budgétaire. C’est une culture, un réflexe, une responsabilité partagée.

Le dirigeant d’aujourd’hui ne peut plus se contenter de gérer des risques ; il doit créer de la confiance.
La sérénité numérique devient alors un actif stratégique — invisible, mais vital.

Et c’est précisément dans cette transition que le Réseau Entreprendre Rhône Durance, ses lauréats et ses partenaires locaux peuvent jouer un rôle majeur : transformer la peur du numérique en force collective, au service de la croissance, de la confiance et du territoire.